Liens videos:
http://www.correzetelevision.fr/videos/serilhac-concert-de-cristal-baschet_942.html
http://www.correzetelevision.fr/videos/serilhac-concert-de-tango_886.html
Historique:
http://alexandrejulita.com/imaginarybroadway/
http://www.coincidencesvocales.com/index.php/spectacles/lyric-hispanic/
http://www.claude-tchamitchian.com/
http://www.emouvance.com/index.php?page=claude-tchamitchian
Wang Li vient de Tsingtao, un port des rives de la mer Jaune au Nord Est de la Chine. Après ses études en Chine, il choisit l’exil vers la France et se fait héberger par des pères séminaristes dans le monastère de Saint Sulpice.
Pendant 4 ans, il mènera une vie d'ermite, d'une simplicité extrême. Son regard sur le monde en sera bouleversé. La guimbarde et la flûte à calebasse, qu’il jouait autrefois en Chine de façon simple et ludique, devinrent alors les instruments centraux de sa musique, aux résonances à la fois intimes et universelles. Wang li conçoit un espace sonore de quête et de liberté, toujours en mouvement.
Sa musique ouvre sur un monde intérieur qui renvoie chacun aux échos de sa propre enfance, des tempêtes de l’âme aux remous de la vie, au silence.
http://www.zamanproduction.com/en/artist/wang-li
Martine ALTENBURGER
Violoncelle solo de Bach à Xenakis.
Le violoncelle est amplement associé à la musique romantique. On dit que son timbre est au plus proche de la voix humaine. Il est bien sûr associé aux fabuleuses Suites de Johann Sebastian Bach dont on entendra la deuxième lors de ce concert.
Mais c’est aussi un instrument qui continue d’inspirer les compositeurs d’aujourd’hui, le prêtant à toutes sortes d’explorations, redéfinissant son rôle jusqu’à la rupture d’avec ses habitudes expressives. C’est qu’il présente de riches qualités sonores du fait de sa facture lui permettant d’amplifier et de magnifier de tous petits événements comme de déployer d’amples et épaisses textures. C’est donc à un parcours très contrasté que nous convie la violoncelliste Martine Altenburger, membre de l’ensemble]h[iatus.
Programme :
Suite N°2 BWV 1008 (1720) de Johann Sebastian Bach (20 mn)
Sonate - 1er mvt (1956) de György Ligeti (6 mn)
Canto Primo (1964) de Benjamin Britten (4 mn)
Quatre Récitations Pour Violoncelle (1980) de Georges Aperghis (12 mn)
Kottos (1977) de Iannis Xenakis (10 mn)
Pression (1970) de Helmut Lachenmann (9 mn)
Ainhoa Zuazua Rubira (soprano) et Magali Paliès (mezzo-soprano), un duo féminin accompagné par Bertille Monsellier au piano, pour un voyage musical à travers les plus grandes pages des « duos d’Opéra pour voix de femmes ».
De Monteverdi à Berstein, en passant par Mozart et Offenbach, chacun prend plaisir à découvrir ou re-découvrir un récital interprété avec une haute exigence vocale et théâtrale par deux grandes voix lyriques.
Ainhoa Zuazua Rubira, soprano
Magali Paliès, mezzo-soprano
Bertille Monsellier, piano
http://coincidencesvocales.com
Ce concert est construit comme une suite musicale alternant les
plages d’écriture et d’improvisation, une promenade sonore, ludique
et surprenante. La palette instrumentale proposée est ici très large,
offrant des matières sonores rares et savoureuses : la famille des
clarinettes au grand complet (de la contrebasse à la petite mi bémol)
s’amusant avec les cuivres modernes et historiques (serpent,
ophicléide).
De la musique de chambre intimiste à la fureur échevelée d’une mini
fanfare, les nombreuses couleurs musicales qui seront proposées à
l’auditoire verront se succéder silences et fortissimo, accélération et
retenue, solo, duo et trio.
Bussola ? La boussole, perdre le nord ou retrouver sa route…
Appolo ? Aventure, découverte des espaces neufs…
Trois garçons décident de faire pour les enfants un concert, un vrai
concert acoustique, et font le pari d’intéresser ces derniers à la
musique sans le secours d’une narration prétexte ou d’images de
divertissement. La musique, rien que la musique, une musique
originale pour baigner le cerveau dans une exploration délicieuse.
Il faut laisser toute la place aux oreilles, mais ne pas perdre l’esprit
de jeu, on est là pour le plus grand plaisir. Des musiques qui
donnent envie de danser ou de rire, des instruments qui font rêver,
les sons graves et étranges du serpent et de la clarinette basse,
l’impétuosité de la clarinette en mi bémol, la joyeuse virilité de la
trompette, le son rond du bugle, l’indéniable autorité du trombone…
Et c’est parce que la proposition s’avère être pointue que le
Festival Hors-Sol n’hésite pas à ouvrir ce concert à tous,
petits et grands.
Fred Pouget : clarinettes
Claude Barrault : trompette, bugle
David Partouche : tuba, trombone, ophicléide, serpent
http://lemaxiphone.com/appolo-bussola.php
Musique tzigane, musique Klezmer, musique traditionnelle,
Ejce horo trouve son répertoire dans le métissage culturel
des pays balkaniques. Influencés par Taraf de Haidouks,
DAAU, la fanfare Ciocarlia, Boukovo, Django Reinhardt,
David Krakauer, Khachaturian, Ivo Papasov, Ejce Horo
nous fait découvrir une musique festive et entraînante.
Composée de musiciens d'horizons musicaux variés,
cette formation est née à Limoges au gré de rencontres et
de concerts. Ej-ce Horo « hé petit garçon » en langue tzigane,
voyage sur les scènes petites et grandes avec succès depuis
2008, invitant le public à partager cet engouement musical
qui vient d'ailleurs.
Maelle Bousquet : Clarinette
Antonin Buval : Violon
Félix Cozma : Contrebasse
Frédéric Giet: accordéon
Anthony Picard : Guitare
Li Tambourado de l’Amour, les chants d’amour du poète Théodore Aubanel interprétés par Henri Maquet et le collectif Tapenade
Li Tambourado de l’Amour est l’œuvre de Théodore Aubanel (1829-1886), poète et dramaturge du XIXe siècle, mais aussi l’un des fondateurs de l’académie de littérature provençale appelée "Félibrige". Ce programme restitue avec une énergie renouvelée quelques-uns de ses poèmes d'amour : amour fou, amour impossible ou désespéré, un amour qui prend les traits du visage de Zani, jeune femme aperçue entre les grappes d’une glycine et dont le souvenir le hantera…La création Li Tambourado de l’Amour permet de redécouvrir la poésie limpide et sensible de Théodore Aubanel. Inspirées des musiques de la tradition populaire de Provence, Henri Maquet propose ici des compositions interprétées par le Collectif Tapenade (chant, violon, guitare, flûtes, flûtets, guitarron) et signe une œuvre originale, sensée, inattendue.
Mana Serrano, Chant, Violon
Gaël Hemery, Chant, Guitare, Flûtes, Flûtets
Henri Maquet, Chant, Guitarron
le Quatuor MELIADES.
Né en 2006 à la suite d’une rencontre artistique et humaine entre quatre musiciennes - Anaïs Vintour, Delphine Cadet, Marion Delcourt, Corinne Bahuau, Méliades a pour philosophie d’ouvrir au plus grand nombre l’appréciation de la musique vocale féminine, de faire découvrir au public les polyphonies des XXème et XXIème siècles, trop rarement diffusées, en collaborant avec la nouvelle génération de compositeurs.
Méliades s’oriente vers les musiques traditionnelles et interprète de nombreux répertoires : sacrés et profanes, savants et populaires, chantés ou parlés, statiques ou extatiques… Le Quatuor aime particulièrement occuper l'espace du concert de manière à surprendre le public en lui permettant de percevoir les voix de différentes façons.
http://www.quatuorvocalmeliades.fr/
2010
Trio de Janeiro, composé de Sabine Poudenx au piano, Stéphane Foucaud au hautbois et Jean-Pierre Raillat à l’alto.
4 décembre 2010
Bernat COMBI (chant, percussion, accordéon) /et Olivier PEIRAT (vielle à roue, luth, harmonium indien)
deux figures inclassables de la scène occitane,
10 juillet 2010.
http://www.crmtl.fr/spip.php?article143
Ouverture du Festival Hors-Sol:
Duopus, Ensemble Hope, Frédéric Bousquet et Marc-Antoine Millon aux Cristals Baschet,
24 Avril 2010.
http://www.hopensemble.eu/
Concert d'inauguration:
Frédéric LANGLAIS et Le Quatuor OSIRIS composé d’Héléna LYDA-MONDESIR et de Sylvie MERIOT aux violons,
de Jean-François SALIES à l’alto, et d’Eric LYDA au violoncelle.
28 novembre 2009.